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Manon Genet

Nagrade:

  • 3ème IRONMAN Malaisie

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  • 3ème IRONMAN Malaisie

  • 3ème IRONMAN Malaisie

  • 3ème IRONMAN Malaisie

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  • 1ère IRONMAN 70.3 Aix en Provence

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  • 1ère IRONMAN 70.3 Aix en Provence

  • 1ère IRONMAN 70.3 Aix en Provence

  • 1ère IRONMAN 70.3 Aix en Provence

Son Palmarès

Découvrez les meilleurs résultats de Manon GENET ces dernières années.

IRONMAN WORLD CHAMPIONSHIP Hawaii

1ère

IRONMAN 70.3 Nice

3ème

IRONMAN France Nice

1ère

IRONMAN 70.3 Aix en Provence

5ème

IRONMAN Afrique du Sud

1ère

Triath’long des Gorges de l’Ardèche

1ère

Triath’long de la Côte de Beauté

1ère

Natureman

3ème

IRONMAN Malaisie

Vice

Championne de France LD 2016

1ère

sur le half de L'Aiguillon sur mer

1ère

sur le half Lacanu Tri Events

A PROPOS

Manon GENET s’est prêtée au jeu des questions/réponses. Suivez Manon sur sa page Facebook en cliquant ici.

Peux-tu te présenter en quelques lignes. Quelles études as-tu faites, quelles sont tes passions, comment occupes-tu tes temps libres, etc.

Depuis toujours j’aime le challenge. Pas forcément contre les autres, mais surtout contre moi-même. C’est dans cette dynamique que je suis partie 1 an aux Etats-Unis alors tout juste âgée de 16 ans. J’y ai vécu en famille et lycée américain, une expérience extrêmement enrichissante. De retour en France, et après avoir passé mon BAC, j’ai intégré l’Ecole Préparatoire Littéraire à Poitiers (hypokhâgne, khâgne) qui prépare essentiellement à l’Ecole Normale Supérieure ou aux métiers de l’Enseignement. J’ai décidé d’orienter différemment mon parcours et passer d’autres concours, notamment ceux des Ecoles de Commerce. J’ai ainsi été diplômée de la Toulouse Business School.

J’ai été Chargée de Développement Commercial et Marketing de la nouvelle enseigne de Running Foulées pendant 2 ans, après m’être familiarisée aux enjeux du marché du Running chez IRUN.fr. Ainsi de 2014 à 2017 j’ai concilié un métier à temps plein avec ma passion grandissante pour le triathlon. Ce fut une période de gros progrès sur le plan sportif, avec des résultats encourageants en longue distance malgré la difficulté à concilier les 2 activités. C’est en constatant que l’une des mes activités compromettrait forcément les chances de réussite de l’autre que j’ai pris en considération la possibilité de faire du triathlon mon métier. Après avoir analysé mon potentiel et mon pourcentage de chance de réussite, je suis devenue triathlète professionnelle en janvier 2017.

A quel âge as-tu commencé le sport ? Quel a été ton parcours sportif depuis ?

Avant de me passionner pour le triathlon, j’ai été gymnaste pendant 10 ans. Compétitions, sport-études, la gymnastique m’a appris la rigueur et l’assiduité. Aux Etats-Unis j’ai appris les techniques de nage, la boxe française et le Krav Maga ! Fille de parents marathoniens, la course à pied à toujours fait partie de mon cadre de vie et c’est en rentrant en France que le triathlon a commencé à attirer mon attention. J’ai pu m’y familiariser quelques mois mais les études supérieures ont vite pris le dessus. Je n’ai repris sérieusement qu’en septembre 2013 dans un club toulousain. C’est aussi cette année-là que j’ai rencontré Frédéric Lureau avec qui je partage aujourd’hui le triathlon et ma vie. Tous deux débutants du triple effort, nous nous sommes d’abord testé sur la longue distance. Après 2 half Ironman et des résultats encourageants, la folle idée nous a pris de nous inscrire à l’Ironman de Nice édition 2014 ! J’avais 24 ans et je validais alors mon Master.

Pourquoi as-tu choisis le sport dans lequel tu excelles aujourd’hui ?

J’ai choisi le triathlon pour sa pluridisciplinarité. La gymnastique exige des aptitudes différentes selon les agrès, au sol ce sera le dynamisme, à la poutre l’équilibre, aux barres l’agilité, au saut la force. Tous ces agrès ont un tronc commun qui est la maîtrise de son corps dans l’espace, la souplesse et la tonicité. On retrouve un équilibre semblable en triathlon, chaque discipline a ses exigences et pourtant l’effort est comparable et requiert des aptitudes semblables. J’ai aussi choisi le triathlon pour la solitude de l’effort. J’aime l’idée de ne dépendre de rien d’autre que de moi même pour performer et aller au bout de ses challenges.

Enfin, je trouve que le triathlon est un sport généreux : les heures d’entraînement, l’effort en lui-même, l’investissement. J’aime ce qui est plein, entier, j’aime les vocations.

Quel est ton plus beau souvenir sportif ?

Le départ de mon premier IRONMAN à Nice en 2014 reste l’un de mes plus beaux souvenirs, même si depuis j’en ai vécu beaucoup d’autres. Le premier IRONMAN garde une saveur incomparable.

Aujourd’hui à combien d’entraînements tournes-tu par semaine ? Ça représente combien d’heures de travail ? Peux-tu décrire une semaine d’entraînement type ?

Avant que le triathlon soit métier j’arrivais à m’entrainer 13 à 18h par semaine. Maintenant que le triathlon est mon activité principale, les seules semaines en dessous des 20h sont mes semaines de récupération qui suivent un IRONMAN ou rythme l’inter-saison. Les semaines à plus de 30h sont spécifiques aux préparations en vue d’un objectif sur IM. Je me lève 4 à 5 fois par semaine à 6h pour aller nager 1h30. Ensuite selon la période de préparation, j’enchainerai le midi et l’après midi avec 1 séance vélo et 1 séance course à pied courtes (1h/1h30) mais intense. En phase de prépa spécifique, les longues sorties vélo ou cap seront privilégiées. En prépa hivernale j’ajoute un gros travail de renforcement musculaire que je considère souvent comme les entrainements les plus durs de l’année !

La Nutrition occupe-t-elle une place importante dans ta vie ?

Vivre de sa pratique sportive est un mode de vie qui implique inévitablement de porter une attention toute particulière à la nutrition. La nutrition est à mon sens complètement liée à la performance sportive. Pour optimiser cette aspect de ma préparation je suis suivie par un diététicien nutritionniste et par les produits Isostar qui accompagnent mes entrainements et compétition depuis 6 ans !

Pourquoi avoir intégré le Team Isostar ? Que t’apporte ce partenariat ?

Je dis souvent que la quête d’un objectif est rarement le fait d’une seule personne mais bien souvent d’une équipe. Par le biais du Team, Isostar rassemble des athlètes de plusieurs disciplines et veille à apporter une solution à chacun de leurs besoins. C’est une excellente manière pour nous, athlètes, de trouver des réponses à nos problématiques et pour la marque, Isostar, de continuellement s’adapter aux besoins des sportifs.

Quels sont les autres sports que tu pratiques dans l’année ?

A part la musculation qui fait partie intégrante de ma préparation, je n’ai pas encore trouvé le temps de pratiquer autre chose. J’aime faire du VTT à l’inter-saison et du yoga tout au long de l’année.

Demain, après la compétition à haut niveau, comment envisages-tu ta reconversion ?

J'y ai pensé avant même d’avoir commencé la compétition à haut niveau puisque j’ai d’abord assuré un bac+6 et plusieurs expériences professionnelles avant de me lancer dans le triathlon pro. Il y a tout de même de fortes chances pour que ce soit dans le sport :-)

As-tu une citation fétiche ? Une superstition avant une compétition ?

Je ne suis absolument pas superstitieuse ! Je crois en l’entraînement, au mental, à la persévérance et à la détermination. Et plus que tout je crois en ce que j’aime.

Quelle est selon toi ta meilleure perf, ton meilleur résultat de ta carrière ?

L’IRONMAN d’Afrique du Sud en avril 2018 essentiellement pour la partie vélo et course à pied. Et le 70.3 d’Aix en Provence 1 mois après pour avoir remporté la course dans des conditions dantesques !