ALEXANDRE MAYER

Je suis un adepte du touche à tout comme en témoigne mon parcours sportif et professionnel.

Professionnellement j’ai d’abord suivi des études de sylviculture, puis je me suis orienté dans le sport en tant qu’entraineur de natation et pour finir j’ai enchainé avec des études d’infirmier.

Sportivement aussi j’ai un peu tout fait. A la base j’étais en sport étude natation, puis à l’adolescence j’ai goûté à un peu tous les sports outdoor et d’endurance avec quelques ironman, plusieurs grandes ascensions et ouvertures dans les alpes bernoises ainsi que 2 saisons sur championnat en VTT. Pour finir le trail depuis 5ans.

Avec les années et l’agrandissement de la famille (3 enfants) le besoin d’une certaine stabilité et simplicité s’est imposé. Le trail fait aujourd’hui partie de mon mode de vie. Je décompresse simplement et peux m’inscrire dans une démarche, une programmation.

Le sport a toujours fait partie de ma vie. Etant issu d’un milieu populaire, mes parents ont toujours considéré les valeurs sportives comme un ascenseur social. J’ai donc comme mon frère et ma sœur intégré une section sportive dès le primaire. Cela a rassuré aussi mes parents de pouvoir bénéficier d’un aménagement et d’un suivi scolaire plus rapproché.

Pour moi, c’était la natation. Des longueurs et des longueurs au point de ne plus mettre un orteil dans l’eau aujourd’hui. Enfin, juste à la pataugeoire avec les enfants.

Les grands espaces, l’aventure et cela le plus simplement possible. Sac, chaussure et Vamos.

Mon premier trail durant lequel je me suis égaré :

J’ai fait quelques heures de jardinage. Au début, je pestais contre l’organisation et moi-même. Puis petit à petit j’ai levé la tête, regardé le paysage et me suis rendu compte que tout ça n’était qu’accessoire. J’ai profité de l’instant. Depuis je suis trail addict même si j’évite de me perdre.

Le nombre d’entrainement est très variable. D’ailleurs je préfère le terme « balade » à entrainement.

Dans entrainement résonne la notion de souffrance, d’obligation.

Je suis actuellement coacher par J.C Banfi. Je respecte donc, bien évidement une planification ainsi que des contenus, mais ils sont fonction de mes contraintes familiales et professionnelles et de mes envies.

Je vis ces sorties comme un bol d’air, une visite des alentours. Les notions d’intensité plus comme un défis personnel.

Cela varie entre 6 et 15h/semaine.

Premièrement, la nutrition a toujours été importante pour moi. De nature gourmande et festive, j’ai toujours du tirer un peu sur les rênes. Ensuite le fait d’être parent oblige aussi à certaines règles.

Donc : j’ai toujours fait gaffe. Mais un peu ! Pas le weekend à l’heure de l’apéro.

Deuxièmement J’ai connu plusieurs déboires en course depuis que je pratique le trail. Après plusieurs conseils je me suis rendu compte que la nutrition est une des composantes de la performance.

Je dirais donc que plus les choses avancent et plus je fais attention car je me rends compte que c’est mieux pour ma famille, moi, mes papilles et mes objectifs sportifs.

Là aussi il ne s’agit pas de contraintes mais de l’envie d’utiliser des produits de qualité.

Tout d’abord dans team il y a le mot « EQUIPE ». Faire partie d’une équipe avec des valeurs communes m’a tout de suite séduit. Je pratique la plupart du temps seul, et faire partie d’un groupe me permet de lever un peu la tête.

Donc Isostar a su créer cela. Un groupe de passionnés qui a un intérêt commun. Je leur en suis très reconnaissant, car c’est des passionnés de sport.

Ensuite, la marque nous a intégré dans un projet afin qu’on apporte notre expertise.

Il ne s’agit pas seulement de porter un placard publicitaire mais de participer au développement des produits.

Alors ce partenariat me permet de m’épanouir dans ma discipline au travers la mise en place d’un groupe. Il m’aide aussi à progresser par les conseils et produits qu’on me met à disposition.

Dans leur gamme, rien ne manque elle est complète. De plus je suis un peu difficile avec les gouts, et avec Isostar pas de soucis. Chaque produit est décliné en de nombreux parfums. Ce qui représente une sacrée valeur ajoutée.

La deuxième activité que je pratique le reste de l’année c’est le Baby Sitting. Trois enfants c’est du sport.

Un peu plus sérieusement je pratique aussi le vélo. Je travaille à 25 km de mon domicile et j’utilise le plus possible la bicyclette pour m’y rendre. C’est mon côté écolo.

Le trail c’est pour moi la découverte, la rencontre. Donc moins je connais le coin et plus les sentiers sont sauvages, plus j’ai envie d’y courir longtemps.

Donc les épreuves que j’affectionne le plus sont les très longues épreuves sauvages. Le dénivelé est pour moi secondaire mais il permet de trouver des sentiers moins fréquentés car plus techniques et difficiles d’accès.